SOUFFRANCE PSYCHOLOGIQUE du CANCEREUX
Clinique:
Le besoin d'être aidé évolue en plusieurs étapes:
le patient a conscience de sa souffrance.
le patient reconnaît que ses ressources pour lutter sont dépassées.
le patient prend conscience qu'il a besoin d'aide.
le patient accepte l'idée d'être aidé.
le patient accepte que l'aide vienne d'un psychologue ou d'un psychiatre.
Conduite à tenir:
Témoigner de l'intérêt pour le patient:
inviter le patient à dire ce qu'il ressent.
Etre à l'écoute de l'ensemble de ses préoccupations:
ne pas l'interrompre.
se montrer disponible.
Explorer ses vulnérabilités:
souffrances antérieures.
antécédents dépressifs ou névrotiques.
environnement social.
Poser des questions ouvertes:
Comment vous sentez-vous en ce moment ?
Relancer les questions à partir de la dernière phrase du patient:
Vous dites que ...
Comprendre ce qui fait souffrir le patient et définir les priorités:
-qu'est-ce qui est le plus difficile à vivre actuellement ?
-la douleur ?
-la fatigue ?
-l'incapacité à poursuivre son travail ?
-la prise en charge de la famille ?
etc.
Signifier au patient qu'il est compris:
Je comprends que ces effets secondaires vous gênent.
L'inviter à développer ses propos:
quelles solutions pouvez-vous envisager ?
Dire que cette souffrance doit être soignée autant qu'une souffrance physique:
préparer le terrain vers une consultation de psychologue ou de psychiatre.
mais sans parler de soins psychiatriques.
Présenter l'intérêt d'un accompagnement psychologique:
dire que ce n'est pas une injonction mais un bon moyen d'être aidé.
Rassurer le patient en lui signifiant qu'il ne s'agit pas d'un abandon:
il sera toujours reçu les bras ouverts.
En cas d'objections:
discuter ces objections.
proposer au malade de réfléchir et de revenir en reparler.
En cas de refus:
proposer les discussions dans un groupe de patients, de bénévoles, ..
SOUFFRANCE PSYCHOLOGIQUE du CANCEREUX
Clinique:
Le besoin d'être aidé évolue en plusieurs étapes:
le patient a conscience de sa souffrance.
le patient reconnaît que ses ressources pour lutter sont dépassées.
le patient prend conscience qu'il a besoin d'aide.
le patient accepte l'idée d'être aidé.
le patient accepte que l'aide vienne d'un psychologue ou d'un psychiatre.
Conduite à tenir:
Témoigner de l'intérêt pour le patient:
inviter le patient à dire ce qu'il ressent.
Etre à l'écoute de l'ensemble de ses préoccupations:
ne pas l'interrompre.
se montrer disponible.
Explorer ses vulnérabilités:
souffrances antérieures.
antécédents dépressifs ou névrotiques.
environnement social.
Poser des questions ouvertes:
Comment vous sentez-vous en ce moment ?
Relancer les questions à partir de la dernière phrase du patient:
Vous dites que ...
Comprendre ce qui fait souffrir le patient et définir les priorités:
-qu'est-ce qui est le plus difficile à vivre actuellement ?
-la douleur ?
-la fatigue ?
-l'incapacité à poursuivre son travail ?
-la prise en charge de la famille ?
etc.
Signifier au patient qu'il est compris:
Je comprends que ces effets secondaires vous gênent.
L'inviter à développer ses propos:
quelles solutions pouvez-vous envisager ?
Dire que cette souffrance doit être soignée autant qu'une souffrance physique:
préparer le terrain vers une consultation de psychologue ou de psychiatre.
mais sans parler de soins psychiatriques.
Présenter l'intérêt d'un accompagnement psychologique:
dire que ce n'est pas une injonction mais un bon moyen d'être aidé.
Rassurer le patient en lui signifiant qu'il ne s'agit pas d'un abandon:
il sera toujours reçu les bras ouverts.
En cas d'objections:
discuter ces objections.
proposer au malade de réfléchir et de revenir en reparler.
En cas de refus:
proposer les discussions dans un groupe de patients, de bénévoles, ..