RADICALISATION d'un ADOLESCENT
Définition en 3 critères:
processus progressif
adhésion à une idéologie extrémiste, religieuse ou politique
et adoption de la violence.
Clinique:
Age:
Adolescent ou jeune adulte.
Signes évocateurs:
Rupture avec la famille, les proches ou les anciens amis.
Rupture avec l'école, déscolarisation.
Rupture du comportement et changement dans les habitudes.
Changements concernant l'identité, l'apparence physique ou vestimentaire.
Pratiques religieuses très ritualisées.
Prosélytisme de la religion ou de la violence.
Forte contestation de l'ordre établi.
Discussions orientées sur le complot, discours antisémite..
Repli sur soi.
Duplicité.
Fréquentation de réseaux sociaux à caractère extrémiste.
Antécédent de condamnation pénale.
La détection du radicalisé peut être très difficile:
Le secret médical est un obstacle à la remontée de l'information..
Complications:
Santé, sécurité et moralité en danger pour le mineur.
Education, développement physique, affectif, intellectuel et social compromis.
Causes et corrélations:
Certains facteurs sont fréquemment retrouvés:
Image parentale défaillante, carence affective et éducative.
Réseaux virtuels, sur Internet ou orientation vers une idéologie extérieure.
L'idéologie extérieure vient remplacer l'absence du père.
Conduite à tenir:
Conflit entre le code de déontologie et le code pénal:
le secret médical instaure un lien de confiance entre patient et médecin.
l'article 223-6 du code pénal: ne pas s'abstenir d'empêcher un crime.
la solution: le secret partagé.
En pratique:
informer les titulaires de l'autorité parentale:
sauf si c'est contraire à l'intérêt du mineur.
informer la CRIP:
Tel: 119 c'est la cellule de recueil des informations préoccupantes.
ou le Comité Interministériel de Prévention de Délinquance et de Radicalisation:
https://www.cipdr.gouv.fr/le-cipdr/
ou:en cas de suspicion de recrutement par le djihadisme:
www.stop-djihadisme.gouv.fr
en cas de difficulté interroger le Conseil de l'Ordre des Médecins.
RADICALISATION d'un ADOLESCENT
Définition en 3 critères:
processus progressif
adhésion à une idéologie extrémiste, religieuse ou politique
et adoption de la violence.
Clinique:
Age:
Adolescent ou jeune adulte.
Signes évocateurs:
Rupture avec la famille, les proches ou les anciens amis.
Rupture avec l'école, déscolarisation.
Rupture du comportement et changement dans les habitudes.
Changements concernant l'identité, l'apparence physique ou vestimentaire.
Pratiques religieuses très ritualisées.
Prosélytisme de la religion ou de la violence.
Forte contestation de l'ordre établi.
Discussions orientées sur le complot, discours antisémite..
Repli sur soi.
Duplicité.
Fréquentation de réseaux sociaux à caractère extrémiste.
Antécédent de condamnation pénale.
La détection du radicalisé peut être très difficile:
Le secret médical est un obstacle à la remontée de l'information..
Complications:
Santé, sécurité et moralité en danger pour le mineur.
Education, développement physique, affectif, intellectuel et social compromis.
Causes et corrélations:
Certains facteurs sont fréquemment retrouvés:
Image parentale défaillante, carence affective et éducative.
Réseaux virtuels, sur Internet ou orientation vers une idéologie extérieure.
L'idéologie extérieure vient remplacer l'absence du père.
Conduite à tenir:
Conflit entre le code de déontologie et le code pénal:
le secret médical instaure un lien de confiance entre patient et médecin.
l'article 223-6 du code pénal: ne pas s'abstenir d'empêcher un crime.
la solution: le secret partagé.
En pratique:
informer les titulaires de l'autorité parentale:
sauf si c'est contraire à l'intérêt du mineur.
informer la CRIP:
Tel: 119 c'est la cellule de recueil des informations préoccupantes.
ou le Comité Interministériel de Prévention de Délinquance et de Radicalisation:
https://www.cipdr.gouv.fr/le-cipdr/
ou:en cas de suspicion de recrutement par le djihadisme:
www.stop-djihadisme.gouv.fr
en cas de difficulté interroger le Conseil de l'Ordre des Médecins.