VAGINITE CARENTIELLE
Clinique:
Sécheresse vaginale:
le vagin perd son élasticité et devient sec.
parfois sensation de brûlure du vagin et prurit vulvaire.
de nombreuses femmes ont une sécheresse vaginale et ne le signalent pas.
Douleurs du vagin:
déclenchées par la pénétration au cours d'un acte sexuel (dyspareunie).
ou par le toucher vaginal.
ou par la pose d'un spéculum.
Signes urinaires souvent associés:
pollakiurie, infections urinaires fréquentes.
Examen gynécologique:
amincissement et rétraction des petites lèvres.
orifice vaginal rétréci et raccourcissement du vagin.
la muqueuse vaginale est pâle, avec perte des plis vaginaux.
des sécrétions colorées peuvent s'observer.
pH vaginal > 6.
Cause:
Carence estrogénique.
Atteint la moitié des femmes ménopausées.
Mais survient aussi en période d'activité génitale.
Fréquent sous traitement anti-oestrogène (Tamoxifène, antagonistes du GnRH)).
Prévention:
L'activité sexuelle régulière ralentit l'évolution de l'atrophie vaginale.
Orientation thérapeutique:
Traitement local:
estrogénothérapie locale:
promestriène cap. vaginale 10mg, 1capsules vaginales/j., 20 j. par mois
ce traitement permet une restauration partielle de l'écosystème vaginal.
puis après quelques mois passer au traitement suivant:
bacille Döderlein, estriol, progestérone, 341mg/0,2mg/2mg:
2 gélules vaginales/j. pendant 20 jours.
puis 1 gélule vaginale/jour les 20 j. suivants.
ou gel non hormonal:
solution de glycérol, 1 dose 3 fois/sem., pour hydrater la muqueuse.
cette méthode peut être suffisante si les troubles sont mineurs.
Traitement hormonal substitutif de la ménopause:
il n'est indiqué qu'en présence de troubles climatériques.
mais c'est le meilleur moyen de maintenir la trophicité du vagin.
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promestriène cap vaginale 10mg: colpotrophine capsule vaginale
bacille de Döderlein, estriol, progestérone, 341mg/0,2mg/2mg: Trophigil gé. vag.
solution de glycérol: Replens unidose
VAGINITE CARENTIELLE
Clinique:
Sécheresse vaginale:
le vagin perd son élasticité et devient sec.
parfois sensation de brûlure du vagin et prurit vulvaire.
de nombreuses femmes ont une sécheresse vaginale et ne le signalent pas.
Douleurs du vagin:
déclenchées par la pénétration au cours d'un acte sexuel (dyspareunie).
ou par le toucher vaginal.
ou par la pose d'un spéculum.
Signes urinaires souvent associés:
pollakiurie, infections urinaires fréquentes.
Examen gynécologique:
amincissement et rétraction des petites lèvres.
orifice vaginal rétréci et raccourcissement du vagin.
la muqueuse vaginale est pâle, avec perte des plis vaginaux.
des sécrétions colorées peuvent s'observer.
pH vaginal > 6.
Cause:
Carence estrogénique.
Atteint la moitié des femmes ménopausées.
Mais survient aussi en période d'activité génitale.
Fréquent sous traitement anti-oestrogène (Tamoxifène, antagonistes du GnRH)).
Prévention:
L'activité sexuelle régulière ralentit l'évolution de l'atrophie vaginale.
Orientation thérapeutique:
Traitement local:
estrogénothérapie locale:
promestriène cap. vaginale 10mg, 1capsules vaginales/j., 20 j. par mois
ce traitement permet une restauration partielle de l'écosystème vaginal.
puis après quelques mois passer au traitement suivant:
bacille Döderlein, estriol, progestérone, 341mg/0,2mg/2mg:
2 gélules vaginales/j. pendant 20 jours.
puis 1 gélule vaginale/jour les 20 j. suivants.
ou gel non hormonal:
solution de glycérol, 1 dose 3 fois/sem., pour hydrater la muqueuse.
cette méthode peut être suffisante si les troubles sont mineurs.
Traitement hormonal substitutif de la ménopause:
il n'est indiqué qu'en présence de troubles climatériques.
mais c'est le meilleur moyen de maintenir la trophicité du vagin.
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promestriène cap vaginale 10mg: colpotrophine capsule vaginale
bacille de Döderlein, estriol, progestérone, 341mg/0,2mg/2mg: Trophigil gé. vag.
solution de glycérol: Replens unidose