TROUBLES MENTAUX de la PERSONNE AGEE
Anxiété:
Elle peut être due ou aggravée par les conditions de la vieillesse.
Elle est souvent contagieuse, atteignant toute l'entourage.
Délire:
Un délire bien construit oriente vers une psychose:
persécution, revendications, exigences démesurées.
ou perception de voix donnant des injonctions.
Un délire aigu associé à une confusion évoque un problème organique.
Démence:
C'est l'association déficit cognitif + apraxie.
Eliminer une pseudo-démence:
dépression nerveuse.
hypothyroïdie.
déficit en B12 ou en folates.
Tests de démence.
Dépression nerveuse:
Signes qui sont physiologiques à un âge avancé:
le ralentissement psychomoteur.
la tristesse.
la raréfaction des relations sociales.
Mais il peut s'y ajouter:
un dégoût de la nourriture.
une insomnie d'endormissement.
une irritabilité.
la fragilisation par un déménagement ou par un deuil.
Hypocondrie:
Le patient est anormalement préoccupé par sa santé.
Il consulte souvent.
Nomadisme médical.
Risque suicidaire:
Evaluer le risque:
antécédents personnels ou familiaux de tentative de suicide.
isolement.
précarité.
perte d'autonomie.
Orientation thérapeutique:
Anxiété:
avant tout pratiquer l'écoute.
disponibilité de l'entourage.
psychothérapie.
la prescription d'un anxiolytique ne peut être que transitoire.
Délire:
un délire avec persécution sera difficile à aborder:
le personnel soignant pouvant faire partie des "persécuteurs".
un délire chez un confus demandera un bilan organique:
rechercher une déshydratation, une insuffisance rénale, ..
éviter si possible les neuroleptiques, surtout en traitement prolongé.
Démence:
reconnaître une pseudo-démence curable.
les traitements d'une démence étant, par contre, très limités.
Dépression:
améliorer l'environnement:
proposer des loisirs.
portage des repas à domicile.
auxiliaire de vie.
psychothérapie.
antidépresseur sérotoninergique:
évaluer l'efficacité du médicament 2 mois plus tard.
Hypocondrie:
écouter.
reconnaître les souffrances du patient.
savoir reconnaître aussi sa propre incapacité.
Risque suicidaire:
interroger le patient avec diplomatie.
TROUBLES MENTAUX de la PERSONNE AGEE
Anxiété:
Elle peut être due ou aggravée par les conditions de la vieillesse.
Elle est souvent contagieuse, atteignant toute l'entourage.
Délire:
Un délire bien construit oriente vers une psychose:
persécution, revendications, exigences démesurées.
ou perception de voix donnant des injonctions.
Un délire aigu associé à une confusion évoque un problème organique.
Démence:
C'est l'association déficit cognitif + apraxie.
Eliminer une pseudo-démence:
dépression nerveuse.
hypothyroïdie.
déficit en B12 ou en folates.
Tests de démence.
Dépression nerveuse:
Signes qui sont physiologiques à un âge avancé:
le ralentissement psychomoteur.
la tristesse.
la raréfaction des relations sociales.
Mais il peut s'y ajouter:
un dégoût de la nourriture.
une insomnie d'endormissement.
une irritabilité.
la fragilisation par un déménagement ou par un deuil.
Hypocondrie:
Le patient est anormalement préoccupé par sa santé.
Il consulte souvent.
Nomadisme médical.
Risque suicidaire:
Evaluer le risque:
antécédents personnels ou familiaux de tentative de suicide.
isolement.
précarité.
perte d'autonomie.
Orientation thérapeutique:
Anxiété:
avant tout pratiquer l'écoute.
disponibilité de l'entourage.
psychothérapie.
la prescription d'un anxiolytique ne peut être que transitoire.
Délire:
un délire avec persécution sera difficile à aborder:
le personnel soignant pouvant faire partie des "persécuteurs".
un délire chez un confus demandera un bilan organique:
rechercher une déshydratation, une insuffisance rénale, ..
éviter si possible les neuroleptiques, surtout en traitement prolongé.
Démence:
reconnaître une pseudo-démence curable.
les traitements d'une démence étant, par contre, très limités.
Dépression:
améliorer l'environnement:
proposer des loisirs.
portage des repas à domicile.
auxiliaire de vie.
psychothérapie.
antidépresseur sérotoninergique:
évaluer l'efficacité du médicament 2 mois plus tard.
Hypocondrie:
écouter.
reconnaître les souffrances du patient.
savoir reconnaître aussi sa propre incapacité.
Risque suicidaire:
interroger le patient avec diplomatie.