ADDICTION AU JEU
Clinique:
Au début jeu par plaisir.
poker.
jeux de casino: roulette, machines à sous, ..
courses de chevaux.
billets de loto, billets à gratter.
jeux vidéo.
les petits gains sont faits pour encourager le joueur à rejouer.
Puis besoin compulsif de jouer:
la dépendance s'installe graduellement.
efforts infructueux pour arrêter la pratique du jeu.
perte de contrôle.
priorité sur les autres taches de la vie quotidienne.
mensonges concernant le jeu, vis à vis des proches.
persistance du comportement malgré les effets négatifs.
dans les jeux d'argent, les mises peuvent être de plus en plus importantes.
besoin de rejouer pour recouvrer les pertes.
le joueur qui perd a l'espoir irréaliste de se ''refaire''.
Signes de sevrage en cas d'arrêt:
irritabilité, agitation, envie irrépressible de jouer.
Signes associés:
cumul fréquent de diverses addictions: tabac, cannabis.
situation financière difficile pour ceux qui jouent leur argent.
Complications:
actes délictueux pour continuer à jouer.
conflit familial pour assumer les dettes.
risque de désocialisation, de dépression ou de suicide.
Causes et corrélations:
Facteurs de risque:
antécédents familiaux d'addiction au jeu ou à l'alcool.
antécédents personnels d'addiction à l'alcool ou aux drogues illicites.
exposition au jeu dans l'adolescence.
offre de jeu dans l'entourage.
célibat.
Cause iatrogène:
effet des agonistes dopaminergiques chez le parkinsonien.
Prévention:
Ne jamais inciter un sujet jeune à jouer:
plus on commence jeune et plus on devient addict.
Orientation thérapeutique:
Entretien motivationnel:
établir un journal de bord du jeu.
déculpabiliser.
évaluer les conséquences des troubles.
évaluer le désir d'un sevrage.
contrat thérapeutique.
Traitement des comorbidités:
état dépressif.
autre addiction.
Thérapie cognitivo-comportementale:
elle dure au moins 3 mois.
convaincre le patient que, statistiquement, le joueur est toujours perdant.
corriger la croyance en une surestimation des gains.
arrêter de croire qu'il y a un lien entre une partie et les précédentes.
le but est d'obtenir une rémission, il est difficile de parler de guérison définitive.
Thérapie de groupe :
groupe de "Joueurs anonymes".
Prise en charge par les travailleurs sociaux:
pour les joueurs qui sont tombés dans la précarité.
ADDICTION AU JEU
Clinique:
Au début jeu par plaisir.
poker.
jeux de casino: roulette, machines à sous, ..
courses de chevaux.
billets de loto, billets à gratter.
jeux vidéo.
les petits gains sont faits pour encourager le joueur à rejouer.
Puis besoin compulsif de jouer:
la dépendance s'installe graduellement.
efforts infructueux pour arrêter la pratique du jeu.
perte de contrôle.
priorité sur les autres taches de la vie quotidienne.
mensonges concernant le jeu, vis à vis des proches.
persistance du comportement malgré les effets négatifs.
dans les jeux d'argent, les mises peuvent être de plus en plus importantes.
besoin de rejouer pour recouvrer les pertes.
le joueur qui perd a l'espoir irréaliste de se ''refaire''.
Signes de sevrage en cas d'arrêt:
irritabilité, agitation, envie irrépressible de jouer.
Signes associés:
cumul fréquent de diverses addictions: tabac, cannabis.
situation financière difficile pour ceux qui jouent leur argent.
Complications:
actes délictueux pour continuer à jouer.
conflit familial pour assumer les dettes.
risque de désocialisation, de dépression ou de suicide.
Causes et corrélations:
Facteurs de risque:
antécédents familiaux d'addiction au jeu ou à l'alcool.
antécédents personnels d'addiction à l'alcool ou aux drogues illicites.
exposition au jeu dans l'adolescence.
offre de jeu dans l'entourage.
célibat.
Cause iatrogène:
effet des agonistes dopaminergiques chez le parkinsonien.
Prévention:
Ne jamais inciter un sujet jeune à jouer:
plus on commence jeune et plus on devient addict.
Orientation thérapeutique:
Entretien motivationnel:
établir un journal de bord du jeu.
déculpabiliser.
évaluer les conséquences des troubles.
évaluer le désir d'un sevrage.
contrat thérapeutique.
Traitement des comorbidités:
état dépressif.
autre addiction.
Thérapie cognitivo-comportementale:
elle dure au moins 3 mois.
convaincre le patient que, statistiquement, le joueur est toujours perdant.
corriger la croyance en une surestimation des gains.
arrêter de croire qu'il y a un lien entre une partie et les précédentes.
le but est d'obtenir une rémission, il est difficile de parler de guérison définitive.
Thérapie de groupe :
groupe de "Joueurs anonymes".
Prise en charge par les travailleurs sociaux:
pour les joueurs qui sont tombés dans la précarité.