PSYCHOSE PUERPERALE
Clinique:
Début:
dans les 3 semaines qui suivent l'accouchement.
avec agitation, anxiété, cauchemars nocturnes.
Puis:
variations de l'humeur, entre l'état mélancolique et l'état maniaque.
Puis:
idées délirantes, centrées sur la maternité.
sentiment de persécution, pensée désorganisée.
sentiment de dépersonnalisation.
désorientation temporo-spatiale.
perturbations du rythme veille-sommeil.
Autres signes inconstants:
un déni de la naissance de l'enfant.
un désir de néonaticide ou d'infanticide.
X ne pas confondre avec une prise de drogue.
Orientation thérapeutique:
Prévention du néonaticide:
il y a un risque de meurtre de l'enfant ou de suicide à deux, surtout:
chez l'adolescente enceinte dans une famille très stricte.
chez une femme ayant eu sa grossesse après un viol.
chez une femme abandonnée par son partenaire.
chez une femme qui se sent incapable d'assumer sa maternité.
le néonaticide est l'homicide au cours des premières 24 heures de vie.
L'hospitalisation est indispensable:
il faut instituer un traitement neuroleptique.
l'enfant devra être momentanément séparé de la mère.
L'évolution est généralement favorable:
mais risque de récidive au cours d'une grossesse ultérieure.
Centre de compétence:
https://www.orpha.net/consor/cgi-bin/Clinics_Search_Simple.php?lng=FR
PSYCHOSE PUERPERALE
Clinique:
Début:
dans les 3 semaines qui suivent l'accouchement.
avec agitation, anxiété, cauchemars nocturnes.
Puis:
variations de l'humeur, entre l'état mélancolique et l'état maniaque.
Puis:
idées délirantes, centrées sur la maternité.
sentiment de persécution, pensée désorganisée.
sentiment de dépersonnalisation.
désorientation temporo-spatiale.
perturbations du rythme veille-sommeil.
Autres signes inconstants:
un déni de la naissance de l'enfant.
un désir de néonaticide ou d'infanticide.
X ne pas confondre avec une prise de drogue.
Orientation thérapeutique:
Prévention du néonaticide:
il y a un risque de meurtre de l'enfant ou de suicide à deux, surtout:
chez l'adolescente enceinte dans une famille très stricte.
chez une femme ayant eu sa grossesse après un viol.
chez une femme abandonnée par son partenaire.
chez une femme qui se sent incapable d'assumer sa maternité.
le néonaticide est l'homicide au cours des premières 24 heures de vie.
L'hospitalisation est indispensable:
il faut instituer un traitement neuroleptique.
l'enfant devra être momentanément séparé de la mère.
L'évolution est généralement favorable:
mais risque de récidive au cours d'une grossesse ultérieure.
Centre de compétence:
https://www.orpha.net/consor/cgi-bin/Clinics_Search_Simple.php?lng=FR