PATHOMIMIE
Clinique:
Le patient simule une pathologie:
vertiges.
céphalées.
coliques néphrétiques, ..
Ou le patient provoque lui-même des lésions.
abcès.
hémorragies.
ponctions veineuses provoquant une anémie.
ecchymoses en nappes provoquées par injection de sang du patient, ..
Et il est très demandeur de traitement:
le patient peut convaincre plusieurs chirurgiens de se faire opérer.
le syndrome de Münchhausen est la forme chirurgicale de la pathomimie.
la demande de soins est exigeante, dans un contexte souvent dramatique.
Il peut devenir agressif si le médecin refuse sa demande.
Il faut rechercher une discordance, une incohérence entre clinique et examens.
Cause:
C'est un trouble grave de la personnalité:
masochisme, perversité, sentiment de culpabilité avec besoin d'expiation.
Ces patients ont souvent été victimes de sévices pendant leur enfance.
Conduite à tenir:
Vérification soigneuse de tous les symptômes:
en cas de fièvre alléguée, la contrôler en présence du patient.
Relation avec le patient:
ne pas révéler brutalement au patient que son jeu est découvert.
un suivi psychiatrique serait souhaitable mais il est généralement refusé.
PATHOMIMIE
Clinique:
Le patient simule une pathologie:
vertiges.
céphalées.
coliques néphrétiques, ..
Ou le patient provoque lui-même des lésions.
abcès.
hémorragies.
ponctions veineuses provoquant une anémie.
ecchymoses en nappes provoquées par injection de sang du patient, ..
Et il est très demandeur de traitement:
le patient peut convaincre plusieurs chirurgiens de se faire opérer.
le syndrome de Münchhausen est la forme chirurgicale de la pathomimie.
la demande de soins est exigeante, dans un contexte souvent dramatique.
Il peut devenir agressif si le médecin refuse sa demande.
Il faut rechercher une discordance, une incohérence entre clinique et examens.
Cause:
C'est un trouble grave de la personnalité:
masochisme, perversité, sentiment de culpabilité avec besoin d'expiation.
Ces patients ont souvent été victimes de sévices pendant leur enfance.
Conduite à tenir:
Vérification soigneuse de tous les symptômes:
en cas de fièvre alléguée, la contrôler en présence du patient.
Relation avec le patient:
ne pas révéler brutalement au patient que son jeu est découvert.
un suivi psychiatrique serait souhaitable mais il est généralement refusé.